A la frontière turque, la peur de critiquer l’offensive en Syrie


En première ligne de l’offensive déclenchée par Ankara en Syrie cette semaine, des habitants des villes turques frontalières n’ont qu’un souhait : le retour au calme. Mais beaucoup, comme à Suruç, ont peur d’exprimer la moindre critique.Cette ville, qui fait face à Kobané, sa « jumelle » syrienne,…